Ottawa appelle à évacuer les civils assiégés dans la Ghouta orientale de Damas

Ottawa appelle à évacuer les civils assiégés dans la Ghouta orientale de Damas

Les ministres canadiennes des Affaires étrangères, Chrystia Freeland, et du Développement international, Marie-Claude Bibeau , ont souligné que plus de 500 personnes, dont la majorité sont des femmes, des enfants et des personnes âgées, font face à la mort dans la Ghouta orientale de Damas, assiégée par les forces du Régime syrien depuis plusieurs années. 

Les ministres canadiennes ont exprimé, dans un communiqué conjoint rendu public, samedi, leur « stupéfaction » face à l’interdiction faite par les forces du Régime syrien d’évacuer de nombreux civils assiégés à l’intérieur de la Ghouta orientale. 

« Les Nations Unies ont soumis au Régime syrien une liste il y a de cela six mois, comportant les noms de plus de 500 personnes, dont la majorité sont des femmes, des enfants et des personnes âgées, qui doivent être évacués de la Ghouta orientale le plus vite possible », lit-on dans le communiqué. 

« Le Régime syrien n’a pris aucune mesure à même de faciliter l’évacuation des civils de la région où de nombreuses personnes sont décédées à cause de la détérioration sans précédent des conditions de vie et en raison de l’inexistence d’équipements médicaux pour soigner les médecins », poursuit le communiqué. 

Elles ont également appelé le Régime syrien à respecter le droit international humanitaire et à autoriser l’évacuation des enfants atteints de maladies graves. 

Les deux ministres ont souligné l’impératif qu’il y a à acheminer les aides humanitaires rapidement et sans entraves à destination des civils nécessiteux dans l’ensemble des banlieues assiégées de Damas. 

Près de 400 mille personnes vivent dans la Ghouta orientale dans des conditions humanitaires dramatiques, à cause du siège imposé par les forces du Régime syrien contre la région et le pilonnage en continu de ses différentes zones, et ce depuis près de 5 ans. 

Depuis huit mois environ, le Régime syrien a renforcer, en collaboration avec des milices terroristes étrangères, le blocus infligé à la Ghouta orientale, ce qui a abouti à l’interdiction d’acheminer toute sorte de médicament et de denrées alimentaires à la région. 

Les habitants de la Ghouta orientale faisaient acheminer les denrées alimentaires via des tunnels secrets et des commerçants médiateurs jusqu’au mois d’avril dernier. 

Les ministres canadiennes des Affaires étrangères, Chrystia Freeland, et du Développement international, Marie-Claude Bibeau , ont souligné que plus de 500 personnes, dont la majorité sont des femmes, des enfants et des personnes âgées, font face à la mort dans la Ghouta orientale de Damas, assiégée par les forces du Régime syrien depuis plusieurs années. 
Les ministres canadiennes ont exprimé, dans un communiqué conjoint rendu public, samedi, leur « stupéfaction » face à l’interdiction faite par les forces du Régime syrien d’évacuer de nombreux civils assiégés à l’intérieur de la Ghouta orientale. 
« Les Nations Unies ont soumis au Régime syrien une liste il y a de cela six mois, comportant les noms de plus de 500 personnes, dont la majorité sont des femmes, des enfants et des personnes âgées, qui doivent être évacués de la Ghouta orientale le plus vite possible », lit-on dans le communiqué. 
« Le Régime syrien n’a pris aucune mesure à même de faciliter l’évacuation des civils de la région où de nombreuses personnes sont décédées à cause de la détérioration sans précédent des conditions de vie et en raison de l’inexistence d’équipements médicaux pour soigner les médecins », poursuit le communiqué. 
Elles ont également appelé le Régime syrien à respecter le droit international humanitaire et à autoriser l’évacuation des enfants atteints de maladies graves. 
Les deux ministres ont souligné l’impératif qu’il y a à acheminer les aides humanitaires rapidement et sans entraves à destination des civils nécessiteux dans l’ensemble des banlieues assiégées de Damas. 
Près de 400 mille personnes vivent dans la Ghouta orientale dans des conditions humanitaires dramatiques, à cause du siège imposé par les forces du Régime syrien contre la région et le pilonnage en continu de ses différentes zones, et ce depuis près de 5 ans. 
Depuis huit mois environ, le Régime syrien a renforcer, en collaboration avec des milices terroristes étrangères, le blocus infligé à la Ghouta orientale, ce qui a abouti à l’interdiction d’acheminer toute sorte de médicament et de denrées alimentaires à la région. 
Les habitants de la Ghouta orientale faisaient acheminer les denrées alimentaires via des tunnels secrets et des commerçants médiateurs jusqu’au mois d’avril dernier.