Viols d'enfants : des témoignages accablent les terroristes du PKK
Des récits glaçants des terroristes repentis montrent une nouvelle fois le côté sombre et immonde de l'organisation terroriste PKK
Les dépositions des membres de l’organisation terroriste PKK, qui on capitulé, montrent une fois de plus que les femmes et les enfants à l’intérieur de l’organisation PKK/KCK sont soumis à des abus sexuels, aux viols et que les enfants sont enrôlés de force pour combattre dans ses rangs.
Selon les informations obtenues de sources sécuritaires, l’organisation terroriste séparatiste PKK a essuyé d’importantes pertes, lors des opérations menées avec succès par forces turques, de nombreux supposés dirigeants de l'organisation ont été éliminés.
Les témoignages des membres du PKK repentis ont une nouvelle fois étalés au grand jour, le côté sombre et immonde de cette organisation.
Parmi eux, une femme terroriste explique être tombée enceinte, après avoir été violée, et que son enfant, une fois arrivé au monde, lui a été repris de force par le groupe terroriste pour être vendu en Europe.
La victime explique avoir fui et s'être rendue aux forces turques après cet évènement.
Un autre terroriste repenti, qui utilise le nom de code "Amed", explique dans son témoignage que Murat Karayilan et Duran Kalkan, deux chefs du PKK, connus pour leur perversité sexuelle envers les femmes et les enfants, sont haïs par tous.
Une autre terroriste, qui a capitulé en 2017, affirme avoir été violée, en 2016, dans une grotte du PKK, située à Zap, dans le nord de l’Irak, alors qu’elle avait à peine 16 ans. Parce qu'elle s'est plainte de son viol, la jeune fille a été traitée de menteuse et d'affabulatrice, avant d'être enfermée dans un centre de détention de l’organisation.
- Présence de membres homosexuels parmi les rangs du PKK
Un terroriste, actif dans les rangs du PKK entre les années 2003 et 2010 et capitulant en 2011, a partagé un récit glaçant sur les comportements sexuels dépravés des hommes à l’intérieur de l’organisation. Les jeunes garçons rejoignant l’organisation subissaient systématiquement des agressions sexuelles et des actes de pédophilie.
Un terroriste homme capturé dans la province turque de Diyarbakir, dans le sud-est du pays, affirme avoir été forcé à participer à l’organisation. Ce jeune homme a affirmé avoir été violé à de nombreuses reprises dans un camps du PKK en Syrie.
Le PKK aurait constitué une section de combat formée exclusivement d’enfants âgés de 9 à 14 ans. Parmi-eux, certaines filles auraient subi des agressions sexuelles et auraient tenté de se suicider.
- Les filles dépendantes à la drogue confrontées aux agressions sexuelles
Un terroriste repenti du PKK a indiqué que les fillettes se trouvant parmi les rangs de l’organisation sont sciemment rendues dépendantes à la drogue.
Il explique que la drogue est injectée dans les repas et boissons des jeunes filles âgées de 13 à 14 ans, qui subissent les agressions sexuelles sous l'effet de la drogue.